Harcèlement moral

Le salarié, destinataire, pendant un an, de nombreux courriers électroniques rédigés de façon méprisante, agressive et grossière, dont certains avaient également été adressés, pour information, à d’autres salariés, et a produit un certificat médical mentionnant un état anxio-dépressif réactionnel à un harcèlement dans le cadre du travail, a pu démontré que ces faits rendaient impossible la poursuite du contrat de travail et justifiaient la résiliation de celui-ci aux torts de l’employeur.

(Cass. soc. 3 février 2016 n° 14-25.843)

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